Comment réagir lorsque votre enfant parle sans arrêt

Savoir réagir face à son enfant

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Je suis une parleuse ininterrompue.  Pour être honnête, je parle moins qu'avant. Surtout parce qu'avec ces enfants, je n'arrive pas à placer un mot. Mais je parlais tout le temps.
Quand j'étais nerveuse.
Quand je m'ennuyais.
Peut-être parce que je suis seule et que je n'ai jamais eu un frère ou une sœur pour m'empêcher de parler. Quoi qu'il en soit... je récupère ce que j'ai payé. A la pelle !

Comment faire face quand votre enfant parle sans arrêt

J'ai récemment fait écrire un lecteur qui m'a posé cette question. J'ai paraphrasé (parce que je ne trouve pas l'e-mail) mais c'était l'essentiel.

"J'aime ma fille, mais elle parle sans arrêt. Elle me pose constamment des questions et essaie d'attirer mon attention pendant que je fais des choses et ça me rend vraiment folle.

Je sais que ce n'est pas bon de l'ignorer ou d'être frustré, et je veux qu'elle sente qu'elle peut me parler, mais elle parle sans arrêt et ça me rend folle.

Des conseils ?"

À l'époque, j'ai envoyé un ou deux conseils, mais je n'avais pas vraiment d'expérience directe en la matière, et maintenant j'en ai. J'ai également un blog maman que je lis pour des conseils.

Mais avant de passer à autre chose... Je sais que vous pensez tous à cette citation. Cette belle et vraie citation qui est aussi source de culpabilité si votre interlocuteur vous fait la tête.


Soyons d'accord sur le fait qu'écouter et s'engager avec nos enfants est une bonne chose. Il est possible d'être un parent présent sans le perdre.

Mais il est également possible de faire comme si votre interlocuteur ne vous rendait pas fou et ensuite - lorsque vous n'en pouvez plus - d'exploser de frustration avec quelque chose comme "Tais-toi !" ou "Tu ne peux pas t'arrêter de parler pendant 5 minutes ?

Vraiment... ce sont ces réactions que nous voulons éviter.

Que faire lorsque votre enfant parle sans arrêt (et que vous voulez vous arracher les cheveux...)
Il est bon d'avoir un enfant qui parle beaucoup et qui veut s'engager avec vous, voyons comment faire en sorte que cela soit bon pour tout le monde.

Prenez le temps de parler


La première chose que nous devons faire est donc de nous engager réellement auprès de notre enfant. Mon Talker veut parler tout le temps, donc on dirait que nous parlons tout le temps... mais quand j'y pense, nous ne le faisons pas vraiment.


J'ai essayé de prévoir du temps pour les conversations tout au long de la journée, ou au moins une bonne course à l'heure du coucher, pour que je sache qu'il y a une vraie discussion.

Cela peut être dix minutes pendant que vous préparez le dîner, un bon câlin au lit à l'heure du coucher, ou une conversation dans la voiture pendant que vous faites des courses.

L'essentiel est d'être engagé et présent, et non pas absent. Pour que votre enfant sache que vous participez activement à la conversation. Cela aidera également à soulager la culpabilité de votre mère.

Comment apprendre à votre enfant à jouer à la victime

Établir un contact visuel et se concentrer
Lorsque vous avez décidé que c'est l'heure de la discussion, assurez-vous que vous êtes bien concentré. J'ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur quoi que ce soit pendant la journée, quand les enfants sont tous en liberté.

Aujourd'hui, alors que les enfants faisaient des corvées et rivalisaient pour attirer notre attention, mon mari m'a regardée et m'a dit...

"Nous vivons sur le parquet de la Bourse de New York."

Cela dit, quand j'ai décidé que je vais écouter attentivement, c'est beaucoup plus facile.

Pour s'assurer que vous vous engagez, vous pouvez :

S'agenouiller à la hauteur des yeux

Posez votre téléphone, votre livre ou la tâche à accomplir
répéter ce que votre enfant a dit (écoute active) avant de répondre
poser des questions auxquelles ils ne peuvent pas répondre par "oui" ou "non


Prenez du temps pour vous

Voici le coup de pied. Vous devez trouver du temps pour vous (si vous êtes mauvais dans ce domaine, je vous ai créé un manuel imprimable). Si vous êtes constamment au bout du rouleau, vous ne réagirez pas bien avec vos enfants.

Vous deviendrez une mère en colère avec beaucoup de déclencheurs. Vous serez déraisonnable, puis vous le regretterez.

Trouvez du temps pour vous dans la vie de tous les jours. Puis, si cela ne suffit pas, donnez-lui la priorité. Cela pourrait être un soir par semaine. Cela pourrait signifier que vous devriez faire un lifting de votre salle de bain pour qu'elle devienne une sorte de spa le soir.

Peut-être pourriez-vous acheter des livres pour vous détendre (voici quelques bons livres pour les mamans). Tout ce dont vous avez besoin pour vous centrer et vous détendre, faites-le.

Choisissez des phrases utiles

Hier, mon mari nageait dans la piscine avec deux enfants. Il a dit qu'ils parlaient constamment, qu'ils posaient des questions, qu'ils se bousculaient, se bousculaient, se posaient des questions, et il a failli perdre la tête.

Et pour lui, "perdre la tête" signifie se retirer de la famille. 

Après avoir discuté, il a décidé qu'il devait leur donner des instructions pour qu'ils lui laissent de l'espace, et non pas simplement lui fermer les yeux et essayer de ne pas lui faire sauter la paupière.


Ces phrases peuvent vous aider à communiquer votre besoin d'espace à votre enfant sans être impoli ou sans qu'il se sente rejeté.

Les effets du rejet dans l'enfance sont réels et, lorsque c'est possible, nous voulons toujours communiquer l'acceptation tout en gardant nos limites.

"Donnez-moi une minute." Les enfants peuvent apprendre cela.
"J'ai besoin d'espace." Avant d'avoir besoin de l'espace, expliquez ce que cela signifie.
"Ne pas parler pendant une minute ou deux." Tant que vous ne les testez pas au-delà de leur niveau de maîtrise de soi, cela fonctionne.
L'enfant agit comme s'il n'aimait pas votre film

Laissez-les parler... et laissez-vous aller à la culpabilité


En fin de compte, certains enfants parlent plus que d'autres. Parfois, ils continuent encore et encore, et c'est non seulement ennuyeux, mais aussi exaspérant.

En fin de compte, nous voulons que nos enfants nous parlent librement et volontairement, mais nous avons aussi des limites.

C'est particulièrement vrai pour les mères introverties.

Si vous devez le faire, laissez-les parler. Vous pouvez même leur dire qu'ils sont libres de parler, mais vous ne pouvez pas leur répondre tout de suite. Ce n'est pas grave. Vous n'avez pas à vous sentir coupable de ne pas être capable d'engager une conversation active 24 heures sur 24. Les enfants peuvent apprendre quand c'est une bonne idée de vous parler ou non.

D'autres sources bientôt